Et oui, je continue avec la suite du programme. La veille du jour 3 (le 26 février donc si vous comptez bien) nous savons enfin où nous allons peut-être dormir, effectivement à Pine Creek : ici. Enfin peut-être. On attend la confirmation de réservation… Et oui, je sais c’est très beau (et pas trop cher : 40 euros la nuit pour 2, à comparer aux 30 euros minimum pour un formule 1 en France) mais qu’est-ce que vous voulez, on n’a pas le choix : c’est un beau voyage…

Or donc, le lendemain, frais et dispos reposés (et peut-être un peu plus accommodés au décalage horaire) nous nous dirigerons vers le parc national de Kakadu. Bon on vous avait prévenu qu’il y aurait des noms ridicules, et attendez la suite …

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On a déjà parlé l’autre jour de Darwin, la ville où nous allons atterrir. Nous savons maintenant où nous allons loger : au « Gecko Lodge », une sympathique auberge de jeunesse du centre ville avec l’Internet, la piscine, le free pancake breakfast et les BBQ facilities, ce qui semble être la norme pour toutes les auberges de jeunesse et c’est tant mieux ! Cette année, la saison des barbecues va donc commencer le 25 février pour nous ! Pour plus d’informations sur le Gecko Lodge, cliquez ici.

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Le père Noël m’ayant apporté quelques dollars australiens, j’en profite pour vous les montrer.

C’est loin d’être les premiers billets étranger que je touche, mais j’ai été très surpris par leur texture : on a l’impression qu’ils sont plastifiés ! J’ai trouvé amusant également les petites fenêtres transparentes. Enfin bien qu’ils soient plus grands que des billets de Monopoly, ils ont à peu près le même rapport longueur/largeur, ce qui leur donne un aspect faux très déroutant.

Je termine en vous rappelant le cours du dollar australien : on a 1,67 AUD pour 1 EUR.

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Je remercie Sylvain pour sa fantastique introduction à la leçon de survie du jour : que faire face à un gros méchant salty ?

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Et beh oui ! C’est pas le tout de parler comme ça de l’Australie tranquillou mais on a un programme à suivre là-bas. Alors pour l’instant on en a parlé en généralité, mais à partir de cet article on va rentrer dans le détail (mais pas trop) de ce qui est prévu.

On va donc atterrir à Darwin, à 4h30 du matin, le 25 février 2007 (en France, ce sera encore le 24 février). Si vous ne savez pas où est Darwin, regardez la petite flèche à côté (vous pouvez même cliquer dessus…).

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Et oui ! Alors bon au départ j’aurai bien pris une ramette premier prix, mais c’est lourd et il paraît que ce n’est pas ça qui est demandé.

Bon… Désolé… Pouf pouf, je recommence…

Aujourd’hui j’ai fait ma demande de passeport ! (en chœur : ouaissss !)… C’est cool que vous soyez tous contents… En fait, ça fait même depuis plusieurs jours que je devais le faire, mais c’est pas toujours simple et il faut plein de choses pour le faire faire ce petit carnet de souvenirs de voyages. Alors en bon citoyen qui se respecte, je suis allé faire un tour sur service-public.fr pour savoir ce dont j’avais besoin… Et donc j’ai commencé à accumuler les preuves de comme quoi que je suis un français un vrai fichtre…

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Bon, vous allez me dire, pas la peine de s’exciter, les marées existent partout sauf en méditerranée c’est bien connu…

Bon alors d’abord, elles existent aussi en méditerranée, non mais… Simplement l’amplitude est si petite qu’on ne voit pas grand chose… Le problème est que lors de mes voyages, je n’ai jamais vraiment vu les marées prononcées comme celles de la Bretagne de ma jeunesse. Pire ! Je n’ai pas souvenir d’en avoir vu !

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Nous allons prendre sept avions (huit pour moi) et le coup de l’atterrissage maison en cas de nécessité est quand même hautement approximatif. Il vaudrait peut-être mieux se procurer deux parachutes (personnellement je ne crois pas au gilet de sauvetage dans un avion) : on n’aurait alors qu’à faire descendre l’avion à 10 000 pieds, là où le froid est acceptable et l’oxygène suffisant, et à sauter depuis une porte située derrière les moteurs, puis tirer la corde, et hop !

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Pour conduire en Australie, il faut, et ce n’est pas vraiment une surprise, un permis de conduire valide ! Pour être un peu plus technique, il faut un permis valide, avec une photo d’identité, et avec une traduction en anglais. En clair, pour des français comme Sylvain et moi, ça veut dire demander un permis international à la sous-préfecture.

Question code de la route, c’est à peu près pareil que chez nous. Ah non j’allais oublier : ils roulent à gauche. Ils ont donc le volant à droite, mais la position des pédales d’accélération et de frein reste inchangée : accélération à droite et frein à gauche.

Bizarrement, il y a priorité à droite quand même. Donc nos réflexes ne devraient pas être trop mis à l’épreuve, encore que je ne sais pas comment ils vont se traduire lorsqu’on roulera à gauche de la route.

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Comme promis il y a quelques jours, voici quelques conseils de survie de base. Aujourd’hui nous traitons du cas des voyages en avion. C’est logique en même temps car si on ne survit pas à l’avion, on n’aura pas besoin des autres conseils. D’abord analysons les risques à être un simple passager qui se la coule douce avec l’écran LCD de son siège.

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