Transport des liquides en cabine

L’idée est de caser tout ce qui s’apparente à un liquide dans un sac de congélation d’un litre. Il faut comprendre liquide au sens large, c’est-à-dire également gels, pâtes, crèmes, aérosols, boissons, parfums, etc. Nous n’avons droit qu’à un sac par personne et chaque récipient doit faire au plus 100 ml.

Mon pot de gel l’a appris à ses dépends le weekend dernier lorsque je me suis envolé pour Bordeaux. Il faisait 200 ml et a donc été jeté bien que pratiquement vide ! Le plus étrange, c’est que mon rasoir mécanique et son magasin de 5 têtes sont passés sans problème à l’aller comme au retour. Je ne parle même pas de mon briquet-décapsuleur qui n’a fait broncher personne. Contrairement à ce que cette expérience peut laisser penser, tout ce qui est tranchant est interdit en cabine. Enfin en théorie car apparemment ils sont plus occupés à fouiner dans les liquides qu’à vérifier le reste.

N’empêche, j’attend avec impatience le jour où on devra embarquer dans le plus simple appareil et où la compagnie nous fournira des vêtements une fois à bord.

Passage en salle d’embarquement

Afin de ne pas perdre trop de temps, il faut faire ses valises de sorte à pouvoir présenter séparément son ordinateur portable (hors de son sac de protection), sa veste, le sachet aux liquides, les aliments et boissons pour bébés, et les médicaments (à condition d’avoir une preuve d’achat). Pour les liquides achetés dans les magasins hors-taxes, ils seront placés par les vendeurs dans des sacs scellés que nous ne pourront pas ouvrir tant que nous serons en transit.

Bref, va falloir être attentif, surtout que tout ça peut changer d’ici là.

Posté le jeudi, 18 janvier 2007 à 21h11 sous la catégorie Avant. Vous pouvez suivre les commentaires via ce lien RSS 2.0. Le formulaire de commentaire est fermé et les liens directs vers cette page ne sont pas autorisés.